JE DIS CE QUE JE FAIS ET JE FAIS CE QUE JE DIS SOUS LA TORTURE DE LA DGSE

Publié le par Orion56

JE DIS CE QUE JE FAIS ET JE FAIS CE QUE JE DIS SOUS LA TORTURE DE LA DGSE

Le message que je venais de poster sur Facebook ce matin n'a pas été publié, ou plutôt a été supprimé par les agents de la DGSE. Je vais donc tenter de le réécrire de mémoire, sous la torture des agents de la DGSE, n'ayant pas pensé à faire un "copier". Vous comprendrez à sa lecture pourquoi ils l'ont supprimé, tout comme ils m'ont empêché de publier l'enregistrement de mon appel à la Gendarmerie, pourtant correctement converti hier pour avoir réussi à le lire avant qu'il ne soit à nouveau trafiqué. Croyez-moi, je tente à nouveau de rédiger ce post sous une torture plus que conséquente. L'objectif est que je ne puisse pas réécrire mes propos, tirés de la loi.

"3h30 de torture par les agents de la DGSE, depuis mon réveil forcé de ce matin à 3h00, ce pour deux raisons que vous comprendrez à leur lecture :

1- Compte-tenu des circonstances de mon dépôt de plainte hier à la Gendarmerie, j'ai décidé, dès hier soir, de rédiger personnellement d'autres dépôts de plainte et de les communiquer à la Gendarmerie des Trois-Ilets mercredi 27 septembre APM. Ainsi, ils seront correctement enregistrés sans déformer mes propos (vous comprenez mieux pourquoi cette terrible torture en ce moment). Parmi celles-ci, la violation de domicile, quels qu'en soient les moyens, sont des faits prévus et réprimés par les articles 226-4, 226-3 et 226-31 du Code Pénal, ainsi que la loi le prévoyait au début des années 2000. J'ajouterai les "actes de torture et de barbarie (hypnose), faits prévus et réprimés par les articles 222-1, 222-44, 222-47 et 222-48 du Code Pénal, ainsi que le Doyen des Juges avait reçu ma plainte au début des années 2000. De même, les dégradations de mon véhicule (considérée comme "légères" à l'époque mais très sérieuses aujourd'hui et filmées pour partie) sont des faits prévus et réprimés par le Code Pénal. J'ajouterai les multiples tentatives de meurtre (physiques et avec l'hypnose) qui sont tout autant réprimées par le Code Pénal (surtout lorsque je préciserais des témoins). J'en profiterai pour qualifier bien d'autres éléments, tous relevant du Code Pénal. Je précise que la Gendarmerie ne pouvait pas ne pas enregistrer ma plainte pour violation de domicile parce qu'elle avait été filmée par mes soins. Si j'évoque le Doyen des Juges, c'est tout simplement parce qu'à cette époque, je ne pouvais plus déposer une seule plainte auprès de la Police et de la Gendarmerie, même si quelqu'un tentait de me tuer en pleine rue. Dans ce cas, la seule procédure existante et accessible pour tous les citoyens est de déposer une plainte auprès du doyen des juges qui jugera admissible ou non celle-ci et, si oui, désignera un juge d'instruction, ce qui avait été mon cas.

2- Dans ma plainte auprès de la Gendarmerie, il est précisé le vol de documents. Dans la réalité, j'ai précisé que de nombreux documents m'avaient été volés (rapports, mémoires, thèses,...), d'autres modifiés et qu'une lettre de dénonciation de pots de vin auprès de la Brigade Financière m'avait été volée, objet du "vol de documents" dans la plainte. J'avais relu cette lettre il y a environ un an, avant que celle-ci, et biens d'autres documents, ne me soient volés dans mon appartement. Je viens de retrouver cette lettre, complètement modifiée par les agents de la DGSE, tout comme j'ai à ma disposition de nombreux documents "originaux", tous falsifiés, qui étaient en la possession de mon avocat parisien. Cette lettre à la Brigade Financière fera l'objet d'un autre article aujourd'hui, avec mes commentaires qui vous permettront de comprendre les moyens de la DGSE pour modifier des originaux. Les journaux qui avaient été destinataires de la copie originale de cette lettre à l'époque apprécieront."

J'ajoute un point 3. La veille de mon dépôt de plainte, j'ai réussi à faire venir un serrurier en début de soirée, alors que je tentais désespérément d'en contacter un depuis la violation de domicile. Le lendemain, en appelant à nouveau ce serrurier, j'avais un nouvel enregistrement qui me demandait d'envoyer un SMS, ce que j'ai fait, contre un précédent enregistrement qui précisait qu'il était impossible de laisser un message. J'avais entendu, à de nombreuses reprises, ce dernier enregistrement pour différents fournisseurs, ce qui permet de comprendre comment un appel peut être bloqué et redirigé par les agents de la DGSE. Celui du lendemain était a priori la voix de la propriétaire de mon appartement (sûr à plus de 90%) ! Le tout a bien évidemment été enregistré et sécurisé, enregistrements que j'ai proposés au Gendarme comme celui de mon appel du dimanche à la Gendarmerie. Le Gendarme a aussi constaté le type de serrure, de cylindre et de clé qui était sur ma porte. Le cylindre et la lé sont en photo ci-dessous. On constate aisément que quiconque pouvait insérer une autre clé depuis l'extérieur et entrer, quand bien même j'avais fermé à double tour en laissant la clé à l'intérieur... C'est ce qui a été fait à de très nombreuses reprises, y compris avec des traces laissées sciemment dans mon appartement pour que je m'en rende compte. Par ailleurs, la visse qui maintenait le cylindre était si petite et le cylindre monté de telle manière que celui-ci pouvait être enlevé de l'extérieur, en mettant la clé à l'intérieur. Ce n'est plus le cas aujourd'hui, une seconde clé n'entre pas lorsque il y en a déjà une et le cylindre ne peut s'enlever que de l'intérieur. De plus, j'ai profité de ce changement de serrure pour rentrer régulièrement mon ordinateur sur le balcon et fermer, à chaque moment, la baie vitrée puisque j'avais pu constater que des personnes pénétraient aussi mon appartement par le balcon de l'appartement contigu (n°34). Clairement, j'avais pu constater les violations de domicile par la porte d'entrée mais aussi celles réalisées, de jour comme de nuit, alors que je dormais, par mon balcon. Je ne pouvais prendre aucune mesure avant le flagrant délit car, en métropole, j'ai eu à changer un nombre impressionnant de fois le cylindre le plus sécurisé du moment, avec carte, sans empêcher les violations de domicile. Des policiers venus chez moi à Asnières auront constaté la violation de la serrure sécurisée toute neuve puisqu'elle avait des traces de griffures. Ceci veut dire que les agents de la DGSE ont les moyens d'ouvrir une serrure, sans effraction apparente, quel que soit le type de serrure. Malgré cela, jamais je n'aurais pu faire quelque chose à cette époque tant les agents de la DGSE avaient des moyens démesurés.

Martial Messier

 

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