COMMENT J'AI SAUVE LE MONDE - HOW I SAVED THE WORLD

Publié le par Orion56

COMMENT J'AI SAUVE LE MONDE - HOW I SAVED THE WORLD.

Vous comprendrez, à la lecture de cet article, qu'il ne s'agit pas d'une vue de l'esprit mais bien d'un sauvetage de la planète qui a débuté avec la demande d'aide de scientifiques américains. Ceux-ci étaient présents lors de ma performance à HEC et ont confirmé, auprès de 500 témoins, ce fait.

You will understand, while reading this article, that it's not a point of view but really a salvage of Earth which began with assistance demand of american scientists. There were present at my performance day at HEC and they confirmed, to 500 witnesses, that fact.

The following article will be in french (I am so lazy, so tired, so out or extinct).

1- La première fois - The first step.

Il y a bien longtemps, des scientifiques américains me demandèrent de venir examiner une partie éloignée du parc Yellowstone qui ne se visite pas. Je constatais, après eux, une situation alarmante, ainsi qu'ils me l'ont expliqué : des kilomètres carrés d'une zone brulée, aux odeurs d'œufs pourris et où tous les animaux, quels qu'ils soient, étaient morts. Ils me demandèrent alors si un volcan était présent sur ces lieux, puisqu'ils reconnaissaient tous les signes avant-coureurs d'une éruption. J'examinais les lieux pour me rendre compte, avec leur expertise, que la surface du sol avait monté de niveau (sur la base de leur photos comparatives et autres). Pour un tel phénomène, il devait y avoir sous nos pieds un volcan immense, aux dimensions jusqu'alors inconnues. Nous sommes tombés d'accord pour appeler cela un super-volcan, avec une longueur et une largeur s'étendant sur des kilomètres.

La première étape, que je leur conseillais, était d'utiliser le système GPS, comme l'on fait pour mesurer l'altitude des montagnes, afin d'évaluer les changements de hauteur du sol environnant. En effet, le super-volcan vivait, ou plutôt respirait. Une trop grande respiration, suivie d'une baisse brutale du niveau des sols, sous-tendrait la possibilité d'une explosion imminente. D'autre part, il leurs fallait utiliser la technologie de sismique 2D ou 3D, comme pour l'étude des champs gaziers et pétroliers, afin de déterminer les dimensions exactes du super-volcan. Il était impressionnant.

La seconde étape était de préparer les outils technologiques nécessaires à un sauvetage. Je retenais le principe de la cocotte minute, avec sa soupape de sécurité pour évacuer le trop plein de pression. Sans cela, la cocotte explose, ici, le volcan. J'expliquais qu'il fallait creuser un tunnel avec une inclinaison de l'ordre d'une trentaine de degré - angle a priori optimal pour une vitesse mesurée d'éjection du magma ou lave. Il leur restait à calculer le diamètre du forage à réaliser dans le même esprit que les forages pétroliers, sauf que le diamètre devait être calculé suffisamment grand pour éviter une trop grande vitesse et/ou pression. Je précisais tout de même qu'ils leur faudrait inventer un système de sécurité pour boucher le trou en cas d'urgence (surpression) si une erreur d'un demi-degré ou d'un degré intervenait dans l'inclinaison du forage.

Toutes ces étapes étaient un mal nécessaire, quand bien même cela aurait pu couter des milliards. Sans cela, les Etats-Unis auraient été rayés de la carte du Monde, mais pas que. En effet, les cendres du super-volcan auraient suivi les alizés pour couvrir le continent américain. Le reste du monde aurait suivi d'une manière ou d'une autre.

Les scientifiques américains m'ont remercié en m'assurant qu'ils allaient s'entourer des meilleurs spécialistes dans chaque domaine, le tout dans le plus grand secret. Pourquoi puis-je en parler aujourd'hui ? Tout simplement parce que les (vos) scientifiques américains ont réussi ! Cela s'est passé exactement comme je l'avais indiqué, à savoir avec une erreur d'inclinaison, puis une réussite. Il y a donc un bassin de "décantation" de la lave, immense, et interdit au public. Le super-volcan est aujourd'hui maîtrisé et sous surveillance. Pourquoi ne pas l'avoir révélé plus tôt ? Tout simplement parce que la panique aurait été déclenchée à la moindre alerte (panique humaine, panique financière ...), alors qu'une chance de réussite existait. Nous avons tous eu raison.

Cela étant, j'avais expliqué aux scientifiques américains qu'il devait probablement exister d'autres super-volcans. A eux la première mondiale technique et technologique,  à eux d'aider scientifiquement d'autres pays avec super-volcans. Car, en effet, les sous-sols pouvaient être différents. Auquel cas, leur savoir-faire devait aider les autres.

J'ai découvert 2 autres super-volcans. Le premier se situe au niveau du lac Toba, sur l'ile de Java en Indonésie : trop de bulles venant du sol sous la surface du lac, une légère odeur soufrée en surface. Un scientifique indonésien croisé sur ma route s'inquiétera de mon questionnement. Je pensais qu'il pouvait s'agir d'un super-volcan aux dimensions impressionnantes. Je lui recommandais de prendre contact avec ses homologues américains qui avaient déjà une expérience. Il avait l'information puisqu'il savait déjà qui contacter. Rassurez-vous, la sismique 3D fonctionne aussi depuis la surface de l'eau. Le second se situe en Islande, suite à l'éruption d'un volcan qui aura bloqué les vols transatlantiques. Des scientifiques islandais étaient déjà sur zone pour étudier l'éruption. En me voyant, ils comprirent que leur inquiétude était confirmée. A la différence près que le super-volcan bénéficie d'une soupape de sécurité, certes énorme, en l'occurrence  le volcan Eyjafjöll. Néanmoins, des études similaires à celles menées aux USA devaient être entreprises.

Clairement, tous les scientifiques avaient été alertés par leurs collègues américains. D'autres super-volcans sont sans doute à découvrir. Pour autant, la solution existe, elle a fonctionné, elle peut être plus difficile à mettre en œuvre dans d'autres zones mais reste réalisable.

Il y a bien longtemps de cela, des scientifiques m'avaient demandé ce qui, selon moi, correspondait au risque le plus important de catastrophe naturelle. Ma réponse avait été les volcans, tandis que eux voyaient un énorme météorite comme pire menace. J'ai donc eu raison. Cela étant, toujours lors de la séance à HEC, je leurs recommandais d'utiliser les satellites (civils et militaires) pour découvrir un cratère, certainement sous l'eau, aux dimensions impressionnantes, qui serait la preuve qu'un météorite avait été à l'origine de la destruction de la vie sur terre (les fameux dinosaures). Ils l'ont bien trouvé, dans le Golfe du Mexique. Il y a une autre théorie, concomitante selon moi, à la première (ou si vous préférez, une relation de cause à effet).

Conclusion : à bon entendeur salut !

2- La deuxième fois - The second step.

Je ne vais pas rentrer dans les détails de ce qui s'est passé ici. Sachez simplement que deux services, disons amis, m'avaient un peu forcé la main (enlevé en plein Paris) pour me retrouver en Israël, où mon "aide" était requise. Ces services avaient eu vent d'un programme spécial, développé par la DGSE (certains responsables auront abusé d'autres agents de la DGSE). Ce programme informatique avait pour but de provoquer l'explosion nucléaire de plusieurs centrales du Moyen-Orient (de puissance ou de recherche), tout en laissant des indices prouvant que ces "accidents" venaient expressément d'Israël. Le tout devant provoquer une guerre dans la région (non sans évoquer les retombées radioactives). On me demandait donc "d'intervenir", connaissant ma haine pour la DGSE (mes tueurs) et mon souhait d'une paix dans la région (un jour peut-être). Une seule solution : créer un super programme permettant de "désinhiber" celui de la DGSE. J'ai donc écrit ce programme sans savoir que les informaticiens israéliens avaient rajouté, en quelque sorte, ma signature personnelle à la fin de mon programme, alors qu'il devait "disparaître" dès son injection dans le système (dernière ligne de code). Ce programme aura fonctionné à merveille (même au-delà pour torpiller les ordinateurs de la DGSE dédiés à cette opération). Il y eut bien évidemment d'autres réactions, comme une petite guerre entre agents de la DGSE, aidés d'hommes divers, et les israéliens alliés à certaines nations du Moyen-Orient, pour l'occasion. J'ai donc sauvé une seconde fois le monde, en me mettant à dos encore plus la France et les agents de la DGSE du fait de 'ma' signature rajoutée par les israéliens. J'en paye encore aujourd'hui le prix fort. Vous l'aurez compris, je me permets, à nouveau, de dénoncer les opérations (noires) destructrices de la France envers le reste du monde. La France a sans doute d'autres alliés de nos jours.

Sachez aussi que j'ai pu 'calmer' le jeu, si je puis m'exprimer ainsi, pour éviter d'autres déclenchements de bombes nucléaires.

Conclusion : à bon entendeur, salut.

3- La troisième fois - the third step.

Comme l'on dit, jamais deux sans trois. Mais cette troisième fois est, bien évidemment, d'une autre nature. En l'occurrence, il s'agit des guerres de religion, toujours actives avec le terrorisme islamique ou les guerres entre sunnites et chiites (celles des chrétiens faisant parties du passé, normalement). Je ne retiendrais que l'exemple de JC Marouby, lors du second entretien en 2016 enregistré sur mon téléphone portable puis supprimé (mais pas pour tout le monde). Je lui expliquais, rageur, voire plus qu'inquiet, que le traitement que je subissais, encore récemment, n'avait que pour unique objectif de me tuer. Il me répondit alors que si je mourrais, il avait déjà demandé aux musulmans du monde entier de se soulever pour moi et de me venger. Ni plus, ni moins.

J'ai du lui expliquer que j'avais déjà désamorcé sa bombe, son (leur avec Macron) "souhait" de déclencher une guerre de religion entre musulmans et chrétiens. La première fois avec les catholiques, la seconde fois avec les musulmans, en demandant surtout à tous de ne jamais se soulever pour un homme, à la seule fin d'éviter une guerre provoquée de toute pièce. Au lieu de me féliciter, il était quelque peu indigné et chercha absolument à savoir où, quand, comment et avec qui j'avais bien pu faire une chose pareille, essentiellement dans des pays musulmans. Un petit travail de renseignement, en quelque sorte, pour action immédiate. Il listait donc les pays du Moyen-Orient, alors que je lui expliquais être seulement allé au Maroc, en Tunisie et en Egypte. C'est pour ce dernier pays qu'il insista. Clairement, je n'avais même pas vu de mosquée à Hurghada, puisqu'elle était à des kilomètres de la zone des plongeurs sous-marins. Je n'avais rencontré que de rares égyptiens vivant plutôt à la mode occidentale. Ce n'était donc pas là que j'avais fait passer mon message. C'était, bien évidemment, en Martinique où toutes les religions sont présentes.

Vous l'aurez compris, Marouby, soudain responsable militaire au niveau mondial, travaillant pour Macron, recherchaient tous deux à déstabiliser le monde entier par le biais de la religion. Ils n'agissent bien évidemment pas seuls, ils vous suffit de reprendre mes écrits précédents. Bien sûr, ce n'est pas le seul moyen de détruire le monde, ils en ont d'autres.

Conclusion : à bon entendeur, salut.

4- La quatrième fois - the forth step.

Il n'est pas question ici d'expliquer quel pourrait être un autre moyen de détruire le monde. Sachez seulement que je l'ai combattu, seul, ou aidé mais seul pouvant combattre (de très nombreux témoins étaient présents, y compris des militaires), par deux fois. J'ai vaincu par deux fois. J'ai même vaincu une troisième fois sans intervenir, tout simplement en faisant faire le nécessaire pour "éloigner" la menace. Ici, le secret absolu doit régner mais j'en profite pour vous en donner l'odeur. Je dois dire que j'ai déjà vu, vraiment vu, ce qu'on appelle "l'apocalypse" ou "l'holocauste", juste histoire d'avoir un bon aperçu : le néant total, l'annihilation totale. Ceux qui pensaient pouvoir régner seront en fait les premiers ou les derniers à tomber.

 

Conclusion générale : A bon entendeur, salut. Si vous souhaitez encore détruire le monde, vous y arriverez sans doute un jour connaissant votre acharnement à me tuer. Mais quel que soit le moyen, vous régnerez sur un océan de désolation, sans espoir de survie. La vie reprendra son droit (si la terre existe encore) mais d'ici quelques milliers, voire des millions d'années. Je vous le rappelle, vous m'avez tué déjà deux fois, voire trois fois. Sans doute que le produit miracle pour me ranimer ne fonctionnera plus.

 

 

Publié dans Entre-Nous, Sur la route

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