LE REFUS DE LA GENDARMERIE DE LA DERNIERE PLAINTE AVEC PREUVES DIRECTES

Publié le par Orion56

LE REFUS DE LA GENDARMERIE DE LA DERNIERE PLAINTE AVEC PREUVES DIRECTES

ALERTE : Je me suis aperçu, le 05 octobre 2017, que tous les liens drive de fichiers vidéo (mp4) et son (mp3) avaient été modifiés par les agents de la DGSE, notamment celui sur l'enregistrement de ma visite à la gendarmerie et le refus de dépôt de plainte (toute la vidéo est tronquée et modifiée). Allez voir les explications détaillées dans l'article de ce jour sur ces modifications (liens, fichiers sur drive, téléphone et ordinateur modifiés).

Préambule : Tout a commencé avec la violation de mon domicile filmée, avec mon téléphone, en flagrant délit (déjà postée sur FB, Martial Messier). Enfin, j'avais la preuve qui me manquait pour pouvoir déposer une première plainte, suivie d'autres. Mais cela n'est jamais aussi facile qu'on le croit, même, ou surtout, lorsque vous êtes connu. Connu comme quelqu'un sous hypnose avec qui l'on peut se jouer, connu comme quelqu'un dont on sait que beaucoup de personnes peuvent entrer dans votre domicile sans que vous ne puissiez y faire grand chose. Une personne connue aussi pour ses qualités, que l'on dénigre, et pour le "harcèlement" dont il peut faire l'objet au sein de la résidence dans laquelle il habite (certes, les bonnes personnes de cette résidence ont été obligées de quitter les lieux ...).

Je vais donc évoquer la première plainte auprès de la Gendarmerie des Trois-Ilets en Martinique, avec quelques éléments sur la manière un peu "cavalière" de la recevoir et les pièces du dossier. J'évoquerais rapidement la seconde partie des plaintes, avec d'autres gendarmes, qui ont posé de nombreuses questions avant de recevoir celle-ci, pour aborder le refus de dépôt de la dernière plainte, celle qui comporte des preuves directes.

1- La plainte du 25-09-2017.

Je me suis donc présenté le 25 septembre 2017 à la Gendarmerie des Trois-Ilets. Bien évidemment, il n'était pas possible de refuser cette plainte compte-tenu du film montrant le flagrant délit de la violation de domicile. Pour autant, j'ai plutôt eu l'impression d'être l'accusé que d'avoir le rôle du plaignant. En effet, cette violation de domicile a été précédée par des menaces d'une personne utilisant des techniques, mortelles, de combat du Krav Maga. L'idée ici était de me crever les deux yeux. Le gendarme m'a demandé pourquoi je n'avais pas filmé cette partie. Ma réponse était simple car il aurait fallu que je demande la permission à mon agresseur de filmer en espérant qu'il stoppe ses techniques ... A la vue du film, le Gendarme regrettait que l'on ne voit pas la suite, un peu comme si j'avais personnellement agressé la personne qui était déjà chez moi. Ma réponse était aussi simple. Après avoir rendu les clés possédées par cette personne, je lui ai gentiment demandé de quitter les lieux pour me prendre, ensuite, un énorme coup de fessier. Mon téléphone m'en est tombé des mains. Je précise d'ailleurs qu'il s'agit là aussi d'une technique de Krav Maga mais utilisée dans d'autres conditions : se sortir d'une prise pour ceinturer dans le dos utilisée pour tuer la personne en lui rompant les vertèbres. Voilà donc pour les préliminaires.

Pour autant, la plainte elle-même est censée refléter mes propos. Après avoir fait corriger une première fois le document, le Gendarme n'était pas enclin à le faire une seconde fois, notamment pour la partie où il a rédigé, lui-même, que je m'étais mis en position de défense après la première agression. Cela n'était pas mes propos et je ne m'étais pas mis dans ce type de position. Je tentais, tout au plus, d'éviter de me faire crever les deux yeux. J'ajoute que la personne incriminée avait déjà tenté, en octobre 2016, de me crever un œil juste sur le pas de ma porte. J'avais tout juste eu le temps de reculer. J'en ai donc profité pour préciser que si je revoyais les deux personnes incriminées, je me considérerais en état de légitime défense.

Bien évidemment, je n'ai certainement pas vérifié mon état-civil précisé dans la plainte puisque j'avais donné mon passeport. Or, il est écrit que j'ai personnellement déclaré mon identité, avec une erreur sur mon mois de naissance ...

Ma plainte était donc accompagnée du film du flagrant délit, de différents courriers constatant les problèmes rencontrés et créés par la personne incriminée depuis début 2013, de mon bail modifié par cette personne chez moi (par violation de domicile) et des courriers qui lui étaient adressés le matin même pour constater les faits graves intervenus (cf. pièces jointes ci-dessous).

J'ai même communiqué au Gendarme l'enregistrement audio de mon appel à la Gendarmerie le 14 septembre 2017 (cf. lien ci-dessous) où l'on m'explique que la Gendarmerie est fermée le dimanche - malgré la permanence assurée par la personne qui me répond, sachant que ce n'est pas ouvert au public - et qu'elle est ouverte le mercredi matin, alors qu'il s'agit du mercredi après-midi. Le gendarme ayant reconnu la voix a, à ce moment, fait une belle moue pour couper immédiatement l'enregistrement. Je lui ai aussi demandé de prendre deux autres enregistrements audio. Le premier est un appel de la personne incriminée en octobre 2016. J'y apprend qu'elle veut rentrer chez moi sans ma présence, ce que j'ai formellement interdit par la suite par SMS (supprimé de mon téléphone) et par message laissé sur son répondeur (enregistrement supprimé de mon téléphone). Je lui fais dire aussi qu'elle a bien une clé de l'appartement, ce dont je n'étais pas sûr. J'ai aussi demandé au Gendarme de prendre l'enregistrement audio du 15 septembre 2017, dans lequel une voix sur un répondeur me demande d'envoyer un SMS au serrurier que je tentais désespérément de contacter depuis la veille. Cette voix (cf. enregistrement ci-dessous, en mp3, enfin) est la même que la personne incriminée. Autant dire qu'on lui a permis de prendre le contrôle du numéro de téléphone d'un serrurier trouvé sur Internet (je précise d'ailleurs que mon appel, la veille, me redirigeait vers un message vocal expliquant que la boite du destinataire était pleine, le même message que j'ai pu avoir avec de très nombreux fournisseurs différents. Je vous laisse juge). J'avais même précisé au Gendarme que je me doutais que la Gendarmerie était équipée d'analyseur de voix et qu'il pourrait faire ses conclusions lui-même. A vrai dire, je ne suis pas sûr qu'il ait copié ces enregistrements ...

J'avais, par la suite, prévenu quelques personnes de la manière un peu "cavalière" pour ce dépôt de plainte, tout en sécurisant les documents. Il me fallait ensuite préparer d'autres plaintes pour le mercredi 27, deuxième jour d'ouverture de la Gendarmerie. Je le faisais déjà sous la torture mais, néanmoins, j'avais réussi à préparer les documents :

- Tentatives de meurtre (physiques et à l'aide de l'hypnose), avec des éléments circonstanciés sur les auteurs.

- Actes de torture et de barbarie et abus de faiblesse (à l'aide de l'hypnose).

- Dégradations volontaires sur véhicule.

Les deux gendarmes présents m'auront questionné longuement puis l'un d'eux aura enregistré les plaintes telles que communiquées (je rajouterais sans doute ultérieurement ces plaintes dans cet article, après avoir enlevé le nom du Gendarme). Dans celle-ci, mon identité est précisée comme confirmée puisque basée sur la lecture de mon passeport, contrairement à la première plainte. J'avais prévenu, à ce moment, qu'il m'en restait une à déposer que je n'avais pas eu le temps de préparer.

Du mercredi au samedi, j'aurai connu l'horreur en terme de torture à l'aide de l'hypnose. Peu importe qui j'ai pu reconnaître exactement mais il me fallait terminer pour le samedi. Ce jour-là, un autre gendarme m'aura refusé, par interphone interposé, l'entrée en prétextant la fermeture de la Gendarmerie (la photo du panneau des heures d'ouverture a été postée sur Facebook), jour d'ouverture pourtant bien précisé par les deux autres gendarmes. J'ai donc prévenu que je reviendrais le lundi, sans aller à Rivière Salée comme proposé, puisque les faits ont été commis sur les Trois-Ilets.

 

Le dépôt de plainte du 27 septembre 2017.

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2- Le dépôt de plainte refusé le 02 octobre 2017.

Je savais que le lundi, j'avais de forte chance de revoir le premier gendarme quelque peu cavalier. C'est sans doute pour cette raison que j'ai filmé ma venue, ce dès mon appel à l'interphone.

Dans cette vidéo, suivie uniquement du son par la suite, on peut y entendre toutes les formes de refus de mon dépôt de plainte par le Gendarme rencontré le 25 septembre 2017. Il y est question de ne pas transférer au Procureur car cela serait immédiatement classé sans suite, selon ses propos, ce qui pouvait paraître curieux puisque les deux autres gendarmes avaient confirmé le transfert au Procureur qui, lui, déciderait de la suite à donner, comme le transfert à un juge d'instruction. La seconde raison était d'expliquer que toutes les personnes incriminées dans mes plaintes seraient convoquées à la Gendarmerie et que, dès lors, il fallait attendre cette phase pour éventuellement recevoir la dernière plainte. Il m'est aussi précisé que ce que je demandais était considéré comme un abus de plaintes, sachant qu'il s'agissait de plaintes différentes dont, la dernière, comportait des preuves directes. Le gendarme m'explique alors qu'il avait rédigé, dans ma première plainte, les éléments de prise de contrôle de mes appareils électroniques et que je pouvais le vérifier. Bien évidemment, je savais qu'il n'en était rien et que la première plainte n'avait pas subie de modification quelconque (cf. les deux premiers documents de l plainte du 25 septembre 2017). En conséquence, il n'y avait pas à ajouter les autres preuves puisque j'avais montré tous les films. Ce n'était pas le cas, je n'en avais montré qu'un, et il me semble qu'un ensemble de preuves devrait être récolté pour concourir à la plainte. Il conclura, à un moment donné, qu'il était le seul habilité à recevoir les plaintes et que sa décision était de ne pas la recevoir. Finalement, je marquais le refus de dépôt de plainte avant de quitter les lieux. Bien évidemment, il y avait trois gendarmes présents à l'accueil, dont un du 27 septembre (parmi ceux qui a reçu mes plaintes). La seconde personne ne devait être autre que celle m'ayant répondu le jour de mon appel au 17, conversation au cours de laquelle il m'avait été répondu que la Gendarmerie était ouverte le mercredi matin, alors qu'il s'agit de l'après-midi ... C'est sans doute pour cette raison que je n'ai pas pu poster l'enregistrement. J'essaierais sans doute plus tard.

La vidéo est insérée ci-dessous et les documents suivants concernant la plainte elle-même, avec toutes les preuves.

Voici donc les onze pages de plainte pour prise de contrôle de l'ensemble de mes appareils électroniques, avec deux précisions complémentaires :

- la première concerne les suites de la violation de domicile, à savoir l'encaissement du chèque de loyer, objet de mon incrimination, ainsi qu'un courrier, non daté et non signé, signalant un changement d'adresse. Le courrier n'était manifestement pas de la main même de la personne ayant signé le bail, puisque les lettres (le P et d'autres) et l'écriture ne sont pas identiques...

- la seconde concerne la torture subie dans le cadre de la plongée (avec des équipements spéciaux) et les tentatives de meurtre en plongée (et oui, il m'aura encore fallu me défendre contre des nageurs de combat, dont un qui se prétendait être "mon ami").

L'article est suivi par une première partie sur les 14 preuves en vidéo (filmées par mes soins), puis par une seconde avec les 17 preuves en format Word, composées de capture d'écran et de commentaires.

Je termine l'article sur deux photos prises ce jour, le 02 octobre 2017, ayant fait une curieuse découverte en nettoyant mes écouteurs : du matériel inséré, à mon insu, dans l'une des oreillettes et permettant à certaines personnes malveillantes de communiquer en fond de bande son d'un film ou de musique.

Je vous laisse juge de tous les éléments communiqués ici, ceux à titre de preuve, d'un dépôt de plainte qui m'aura été refusé. Par contre, je ne vous précise pas tout ce que j'ai pu endurer comme torture inhumaine durant ces derniers jours, pas plus que ce que j'ai pu entendre depuis chez moi ou mon balcon, paroles intentionnelles (m'emmener de force dans un hôpital psychiatrique, m'éliminer, me forcer à déménager - sachant que j'ai des preuves - surtout à l'aide de la torture innommable, ...).

 

Martial Messier

LISTE DES PREUVES ANNEXEES : PARTIE 1, VIDEOS.

LISTE DES PREUVES ANNEXEES : PARTIE 1, FICHIER WORD CAPTURE D'ECRAN.

PRTIE 3 DE LA PLAINTE : COMPLEMENTS SUR LA VIOLATION DE DOMICILE, FICHIERS.

Pour Information : Deux photos prises cet après-midi, le 02 octobre 2017, en nettoyant mes écouteurs. Sur la première photo, on voit bien que l'intérieur des écouteurs ne comporte pas le système placé juste à côté. La seconde photo montre mieux ce qui était placé à l'intérieur d'une des deux oreillettes.

Je comprends mieux pourquoi je pouvais entendre des "voix" néfastes en sus de la bande son d'un film ou en écoutant de la musique sur mon ordinateur. Quoi d'autre sinon ? Que faire contre les nanotechnologies installées à son insu, à l'intérieur de son domicile. Cela s'explique mieux après la violation de domicile filmée en flagrant délit et postée sur FB.

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