NOUVELLES DU JOUR S19 ... EN MARTINIQUE.

Publié le par Orion56

NOUVELLES DU JOUR S19 ... EN MARTINIQUE.

Préambule. Je dois dire que la DGSE n'y va plus par quatre chemins :

- Destruction de preuves en modifiant les liens drive d'un article, les fichiers sur le drive, sur mon ordinateur et sur mon téléphone. Modification des dates apparentes de rédaction d'articles sur orion56, alors qu'en éditant les articles pour les modifier, les dates et les heures sont les bonnes...

- Suppression de multiples photos sur mon téléphone portable car, quand bien même j'en avais copiés sur mon ordinateur, jamais je n'avais supprimé les originaux sur mon téléphone.

- Ainsi que toutes les manipulations en direct en passant par toute sorte de liaison Internet, ...

Mais laissons cela de côté pour débuter cet article avec mes nouveaux témoignages, photos récentes à l'appui, ou articles à l'appui qui ne font que concourir à établir la preuve de ce que j'ai vécu.

 

1. De la taille respectable des enfants d'un appartement de la résidence.

J'avais évoqué à de multiples reprises, sur FB, le nombre incalculables d'enfants différents de 4 à 6 ans qui vivaient dans un appartement du deuxième étage de l'immeuble Brouvreuil dans ma résidence.

Voici donc une photo, prise de mon balcon en étant caché, qu'il faut agrandir pour constater la taille soudainement impressionnante d'un garçon de 5 ou 6 ans, vu pour la seconde fois. Lorsque j'ai zoomé pour la première fois, je voyais bien le regard particulièrement méchant de ce garçon, pour ne pas dire tueur, dans ma destination, par-dessus l'épaule de son "père", alors que j'étais tout de même caché. Même s'il pourrait être difficile de voir ce regard, on voit néanmoins la taille proche du mètre 70 puisque le père devait être plus grand que moi. Ce garçon avait soudainement pris 20 bons centimètres, puisque celui qui promenait le chien était plus petit mais tout de même soudainement plus grand que le prédécesseur d'environ 4 ou 5 ans. De la même manière, le nombre et le type de petits garçons ou petites filles a bien changé au cours de ces derniers mois. Je n'ai pas de doute quant au type d'école fréquentée : celle des tueurs, ainsi que certains sont formatés dès leur plus jeune âge en Afrique. On peut remercier la DGSE. (Rajout du passage supprimé par la DGSE) J'ai pu noter le nombre impressionnant d'enfants différents de 4 à 6 ans emmenés ou ramenés avec le même 4X4 (de l’école ?), des petits garçons ou des petites filles, emmenés ou ramenés dans le même 4X4 par différentes "mères" - j'en ai noté 5 différentes, des brunes et des blondes, des grandes et des petites, des minces et des rondouillettes - ainsi que différents "pères" allant jusqu'aux militairement baraqués. Tous allaient dans le même immeuble Bouvreuil pour le même appartement du 2ème étage.

Le souvenir de l'horreur dans mon enfance, un nouveau témoignage.

Premier témoignage. Le point ci-dessus me rappelle un souvenir lorsque j'avais 5 ans. Je pouvais, dès cet âge, partir en colonie de vacances, celles des œuvres sociales d'EDF et GDF (fer de lance des avancées sociétales de l'époque), les fameux camps CCAS. A ce moment, les moniteurs étaient essentiellement des délégués syndicaux CGT. Un soir, en pleine nuit, je fus réveillé par deux d'entre eux, torche en plein visage. Ils se moquaient de moi en me disant que j'aimais les "bites" puisque j'en avais une dans mon lit. Choqué, je tirais les draps pour voir un morceau de quelque chose que je jetais immédiatement au sol, horrifié. Je pensais néanmoins qu'il s'agissait d'une carotte, ce que j'expliquais. L'un des moniteurs CGT la pris pour gouter. A ce moment, un autre adulte intervint pour me protéger. Je m'effondrais en larme en montrant mon sexe puisque les deux autres affirmaient qu'il s'agissait d'un morceau du mien. J'expliquais à celui venu me protéger qu'ils avaient très certainement coupé le sexe d'un autre garçon dont le lit était situé au fond du dortoir. Pourquoi lui ? Tout simplement parce qu'il avait accepté de jouer le jeu de ces deux tueurs en se faufilant dans mon lit lorsque je dormais pour que, une fois réveillé par ces deux tueurs, ils me traitent de pédé et d'homosexuel, termes que je ne connaissais pas. Un autre adulte venu épauler celui qui me secourait alla constater le lit de l'autre garçon pour voir qu'il était inondé de sang et que le garçon était mort. Celui qui s'était foutu de moi en parlant d'un morceau de mon sexe avait vraiment gouté celui du garçon mort et jura à son acolyte qu'il avait tout tenté pour me scier mon propre sexe, sans succès. Il venait donc d'avouer devant les deux autres adultes qui jurèrent de me protéger. Ce fait a été connu d'autres parents une fois rentré sur Paris mais a été tenu secret depuis. Vous comprendrez mieux pourquoi depuis l'origine je peux avoir une dent, sévère, contre les tueurs de la CGT. Je précise d'ailleurs que ces personnes disposaient, dès cette époque, de technologies que l'homme n'avait pas pu encore développer.

Second témoignage. Le second souvenir, qui m'est revenu il y a quelques temps, date de mes 16 ans. Il me fallait obtenir une carte d'identité et je suis donc allé au commissariat du Raincy (93) avec celle qui se prétendait être ma mère. Je ne mesurais que 1m72, ce qui disconvenait à l'un des agents sur place. A cette époque, notre taille était prise avec la toise au commissariat et l'on pouvait rajouter des éléments physiques, tel qu'une cicatrice. L'agent pris un morceau de bois et un marteau pour me taper sur la tête jusqu'à ce que je perde 1 centimètre. Un agent alerté par mes cris arriva sur ce fait, accompagné d'une personne qui se révéla être un médecin qui me suivait médicalement dans l'ombre. Mes cervicales revinrent à la normale mais le médecin s'étonnait que je ne mesure pas 1m80, ainsi que la courbe de croissance le démontrait. Il regarda mon dos pour s'apercevoir, horrifié, que j'avais une cicatrice tout le long du dos. L'explication qu'il me donna, en palpant mes vertèbres, est qu'elles avaient été découpées en longueur pour ne plus mesurer que 1m72. A ce moment, je me suis effondré en larmes en me demandant comment je pouvais être encore en vie. La résolution des policiers arrivés pour m'aider était d'arrêter ma "mère", que je rentre seul chez moi pour expliquer à mon vrai père ce qui s'était passé. J'étais encore en larmes en expliquant le tout à mon père qui décida de ne pas aller sortir ma "mère" de la prison du commissariat, juste pour voir si elle serait aidée. Nous la revîmes un peu plus tard. Bien évidemment, nous avions oublié, mon père et moi, tout ce qui s'était passé dès le lendemain.

nb1 : Sachez une chose essentielle. Que ce soit auprès de vrais gendarmes, de vrais policiers, de dirigeants d'entreprises ou de vrais collègues, je suis considéré comme un témoin extrêmement fiable. Cela a toujours été vrai, sachant que si un doute subsiste, même de 5% dans la reconnaissance du schéma d'un visage, je l'exprime. C'est pour cette raison que depuis très longtemps, le pouvoir et la DGSE se sont acharnés sur moi, par tous moyens, pour tenter de me discréditer en tant que témoin. Ils ont même tenté d'utiliser ma fille en faisant courir le bruit que je lui mentais et que, dès lors, je n'étais pas à un mensonge près. Il m'a fallu expliquer à ma fille pourquoi je ne lui avais jamais menti, sauf ce qu'on appelle le mensonge par omission, uniquement pour la protéger tant elle était petite.

nb2 : Ainsi que je l'ai déjà rédigé, j'ai toujours dans mon cerveau l'implant métallique qui m'a été inséré lors d'une opération chirurgicale lorsque j'étais âgé de 6 ans. J'aurais dû mourir puisque personne, à cette époque, n'avait ni la technique ni la technologie pour implanter une puce au beau milieu du cerveau sans provoquer le décès de la personne. Comme encore récemment, les chirurgiens fous, de père en fils, auront tout fait pour m'étudier le cerveau, même mort, ainsi qu'ils l'ont fait avec mon fils. Le dernier bénéficie de nos jours de technologies que personne n'aurait pu développer aussi rapidement.

 

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2. Comment rajouter du poison ou des nanotechnologies dans ce que vous mangez et buvez.

Voici deux photos ci-dessous.

La première montre les canalisations d'eau chaude et d'eau froide reliant le mitigeur de ma cuisine. Une belle surprise car avant mon petit voyage en Métropole de cet été, les tuyaux étaient encore en cuivre. Je le sais d'autant plus pour avoir aidé un plombier qui devait changer ce fameux mitigeur. Aujourd'hui, ces tuyaux sont peints de blanc et de vert. Nul doute qu'ils relient, d'une manière ou d'une autre, l'appartement 25 situé juste en dessous du mien. Celui-là même où plus personne n'entre depuis des mois avec les volets fermés (sauf des personnes de l'ombre). C'est sans nul doute dans cet appartement que se trouve (encore aujourd'hui) les installations de la DGSE pour me balancer du gaz - pourtant interdit par la convention de la Haye - et des nanotechnologies dans l'eau du robinet. Je me suis demandé ce matin pourquoi mes mains sentaient une odeur particulière à un moment précis : la vaisselle du matin. Tout simplement par un raccordement qui permet d'insérer dans l'eau les fameuses nanotechnologies, dont on ne sait trop quels en sont les effets, si ce n'est d'être mortelles à un moment ou un autre. Ils étaient passés aussi par les produits d'entretien (marque Carrefour), dont un qui, curieusement, sentait la fraîcheur alors qu'il sert de dégraisseur et de nettoyant. Auparavant, son odeur était normale, sans que de la fraîcheur on passe à une odeur nauséabonde .. Ce qui fait frémir est que je buvais l'eau du robinet que je mettais dans des bouteilles au frigo. Je ne buvais donc que des éléments remplis de nanotechnologies mortelles. 

La seconde montre un paquet de Cordons Bleus de Poulet congelés de marque Carrefour. J'ai testé, pour vous, le goût horrible que cela pouvait avoir. Il m'a rappelé celui de la fameuse "persillade" rajoutée sur une côte de bœuf à l'Hippopotamus du 19ème arrondissement. J'ai évoqué ce point dans un autre article où j'expliquais qu'il ne s'agissait pas d'une côte de bœuf ni de vraie graisse et que cette "persillade", invisible, avait failli me faire vomir et emportait tous les goûts. J'avais fait ce test à la demande de restaurateurs, aidés par deux journalistes américaines forts connues, car des clients, restés en vie, s'en étaient pleins. J'en avais été malade toute la soirée et toute la nuit. Alors imaginez ce que cela pouvait provoquer pour n'importe quel quidam. Voilà le goût que j'avais en bouche en mangeant les cordons bleus qui, habituellement, sont simplement agréables à manger (sans doute à cause du fromage).

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3. Du maquillage de documents Canal+ pour justifier l'injustifiable.

Les deux photos ci-dessous montrent la documentation Canal+ accompagnant le décodeur. La première page présente qu'il s'agit bien du décodeur Le Cube avec lequel il est possible d'enregistrer des émissions et des films. J'avais bien évidemment lu l'intégralité du document dès le premier jour pour savoir qu'il était possible d'enregistrer sans rajouter aucun élément extérieur. Etant allé me plaindre au magasin Canal+ du non fonctionnement de cette possibilité, je me suis retrouvé avec la page de la seconde photo justifiant le disque dur externe au décodeur, uniquement de chez Canal+, pour pouvoir enregistrer. Le même type de disque dur que je voyais pour la première fois au magasin ! Qui plus est, il fallait prendre un abonnement payant pour ce disque dur, si spécial que je n'aurais pu enregistrer que les éléments diffusés normalement, à savoir les vraies émissions sans images subliminales. Je vous laisse faire vos conclusions.

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4. Des opérations chirurgicales dans mon appartement.

La photo qui suit, datée du 20 septembre 2017, montre quelque chose dont je m'étais aperçu bien après mon retour de métropole. Nul besoin d'agrandissement pour voir que les deux premières côtes du haut sont "soudées" au-dessus du sternum. Normalement, ces deux côtes se fixent sur le côté du sternum. Jamais une quelconque radiographie ou ASP - j'en aurais fait de nombreuses - n'ont montré une telle chose. J'avais été prévenu d'un tel type d'opération sans que personne ne puisse me venir en aide pour contrer ce carnage chirurgical, sans cicatrice aucune ! Par ailleurs, sur la droite de la photo, soit juste en dessous de la clavicule gauche, on peut voir une sorte de petit os allongé qui, lui aussi, aura été rajouté (toujours sans cicatrice). Je n'en connais pas l'utilité mais pour les deux côtes soudées, elles sont douloureuses lorsqu'on me pousse à tousser et me gêneraient fortement dans tout combat rapproché. J'ajoute un troisième point, sans photo aucune car cela ne pourrait se voir, sauf au toucher. Ils m'ont rajouté un implant dans le cou. Lorsque vous baissez la tête et que vous passez votre doigt sur les cervicales, vous pouvez les sentir une à une. En redressant légèrement le cou, vous sentirez toujours vos cervicales. En ce qui me concerne, je sens une sorte de bande dure et souple faisant une forme de "u" entre 3 cervicales, celle du milieu étant libre. La seule vocation de cet implant (sans cicatrice aucune) est de me briser la nuque en fonction des mots clés que je peux entendre. J'en étais à deux doigts il n'y a pas si longtemps que ça. En dehors des moments de rupture de cervicales, les douleurs au cou sont désormais nombreuses et fréquentes, tandis que je dois redresser les cervicales régulièrement en faisant des mouvements de rotation du cou.

Je dois préciser que ces opérations ont été réalisées après un moment précis à partir duquel, si je survivais, j'étais déclaré "intouchable". C'était après le fameux jour où je devais éviter les piqures mortelles de deux coléoptères, extrêmement rares, importés d'Egypte. J'ai bien survécu à ce moment alors que je courais dans la forêt de Vatable. Pour autant, ces chirurgies sauvages, cette torture sans nom, ces tentatives de meurtre, y compris en entrant la nuit chez moi alors que je dormais, ne sont que des agressions physiques dans le but de me tuer. Or donc, tous ceux qui avaient accepté cette règle, y compris Macron, n'auront eu de cesse de violer les règles qu'ils s'étaient données dans l'unique but de tout faire pour me supprimer.

 

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5. Des maladies de peau "pas si naturelles que ça".

Sciences et Avenir nous rapporte que 16 millions de français seraient touchés par des maladies de peau. Fruit d'une grande étude de la Société Française de Dermatologie (SFD), cette association reconnaît que les maladies de peau sont "pourtant au quatrième rang mondial des pathologies reconnues comme affectant le plus la qualité de vie". Selon ce sondage, 54% des personnes atteintes d'une maladie de peau souffrent d'anxiété ou de dépression et, pour certains, envisagent le suicide.

Crèmes, pommades, lotions et émollients nous sont finalement vendus comme une consultation chez un psy. Reste qu'un bon dermatologue vérifiera toujours si les "tâches" ne sont pas un cancer de la peau (ils sont vraiment formés pour ça), véritable fléau de notre siècle du fait d'un soleil malveillant, ou si les points de démangeaison ne résultent pas d'un champignon pathogène. En ce qui me concerne, je n'ai jamais eu à autant consulter un dermatologue que lorsque j'habitais Asnières. D'une tâche blanche en forme de cœur en Tunisie pour avoir vu une italienne "pourrie" de tâches blanches, du jour au lendemain, fruit d'un champignon gisant dans le sable et friand d'italiennes, aux multiples tâches blanches provoquant de belles démangeaisons avec, pour mémoire, toujours celle en forme de cœur au même endroit, le pas était franchi pour la dermatologue pour qu'elle décide de me donner une crème "maison" contre une sorte de "poison". De même, jamais je n'aurais vu les tâches de rousseur se multiplier à ce point sur mon corps (elles nt disparu par la suite ...).

Encore aujourd'hui, je me protège du soleil contrairement aux "peaux blanches" qui auront "bouffé" leur capital soleil, comme on l'indique de nos jours. Pour autant, je n'ai jamais autant eu de tâches de rousseur sur le corps, sauf sur le visage... Je n'ai jamais autant eu de  tâches rouges sur le corps, soudainement apparues du jour au lendemain. Jamais je n'ai vu ma peau flétrir à ce point à des endroits précis, comme si j'avais plus de 70 ans. Pire, une femme que j'ai connu m'indique un jour qu'on lui avait fait la même chose et qu'elle avait la crème qu'il fallait. Je vous le dis tout de go : cette crème était surtout à éviter car elle n'aurait fait que renforcer le problème !

Quand bien même le stress pourrait, de nos jours et dans certains cas, provoquer certaines maladies de peau, ce que l'on appelle les maladies psychosomatiques, j'en suis au point de me demander si certaines crèmes (solaires ou non) vendues dans le commerce n'aideraient pas quelque peu au développement de pathologies de la peau (encore des nanotechnologies aux effets curieux), voire si des images subliminales ne pourraient, à elles seules, provoquer certaines pathologies de peau tant elles pourraient être bénignes ?

6. Des impacts de la pollution "organisée" sur nos corps.

Voici un petit article d'Atlantico sur l'impact de la "pollution" sur nos corps. De fait, la pollution atmosphérique ne toucherait quasiment pas notre peau. Malgré cela, les autres formes de pollution - dans nos aliments, dans l'eau que l'on boit et ailleurs - contaminent notre corps vite devenu saturé d'éléments agressifs, y compris les nanotechnologies. Certains de nos organes qui contiennent de quoi combattre les agressions externes (du type virus, bactéries, ...) sont vite dépassés. Ainsi, nos corps développeraient plus facilement des "faiblesses" comme la fertilité en chute (la question d'un excès de chaleur sur nos organes génitaux ne se pose pas chez les habitants des zones dites chaudes, alors pourquoi serait-elle un des problèmes de la fertilité en chute pour l'homme ?), les cancers, jusqu'à un ADN qui se trouverait modifié. Pour faire de nous des monstres malades de pathologies multiples et irréversibles ?

Je vous laisse lire l'article (j'ai quelques soucis avec la DGSE pour le faire) mais je note néanmoins qu'il ne s'agit pas d'un article d'anticipation. L'état actuel de notre environnement est, selon moi, un élément qui aurait pu être circonscrit dès l'apparition des problèmes, il y a plus de trente ans de cela. On a l'impression que beaucoup ont clairement choisi la voie de la pollution organisée non pas uniquement pour des questions de profits. Je pense notamment aux ultralibéraux qui nient encore le réchauffement climatique - au nom du pur profit sans se soucier du jour où leurs mégalopoles auront les pieds dans l'eau jusqu'aux genoux - aux ultralibéraux qui s'habillent du costume des protecteurs tardifs de l'environnement sans, pour autant, en faire trop, aux industriels faisant plus de bénéfice avec de l'eau ou du gras rajouté et dont les marges seraient sans doute restées faibles s'ils n'avaient bénéficié de nouvelles technologies, au demeurant très chères à développer (nanotechnologies). J'ai bien évidemment modifié le titre d'Atlantico en rajoutant le terme "organisée". Pensez-vous que j'ai pu le faire sans réflexion aucune ou sans aucun élément ? A dire le vrai, pas du tout. Reprenez mes articles dans lesquels j'ai dénoncé certaines choses pour lesquelles j'ai clairement financé des études sur dix ans et moins, histoire d'avoir des preuves accablantes. J'ose espérer que les responsables de cette tragédie planétaire ouvriront un jour les yeux pour comprendre qu'ils n'auront de clients que ceux qui seront restés en vie (combien ? Pour quels profits dérisoires ?) dans un environnement clairement délétère pour y vivre encore.

Mais sans doute suis-je encore un peu trop fleur bleue ou idéaliste pour avoir voulu rester en vie, depuis l'âge de 5 ans, et tenter de sauver ce qui peut l'être encore.

7. Le vol de buralistes sur des jeux de la Française des Jeux.

Suite à la plainte d'un client qui soupçonnait un buraliste d'avoir empoché ses gains, la FDJ a mené une enquête, du type clients mystères venant  valider des tickets gagnants sans, pour autant, avoir pu empocher les gains. La FDJ a donc lancé une procédure judiciaire contre les buralistes mis en cause.

Penseriez-vous qu'il s'agit d'une histoire qualifiée de rare ? Dans la réalité, non. Car en effet, il m'a récemment été confirmé que, par deux fois, j'avais été victime de ce type d'escroquerie en jouant à l'euromillion. Mes soupçons pour ces deux moments, qu'on m'avait fait oublier avec l'hypnose, venaient donc d'être confirmés. La première fois que cela m'est arrivé vers le début des années 2000, j'ai ressenti exactement la même chose que ce décrivait le client dans l'article, sauf que la machine n'affichait plus, à ce moment précis, ni les gains ni le fait de n'avoir rien gagné. J'habitais à Asnières (92) et le buraliste se trouvait presque en face de chez moi. J'avais vu la réaction médusée du buraliste qui ne m'a jamais rendu mon ticket puisqu'il l'avait "jeté". Dans la réalité, des passants inconnus m'annoncèrent, bien plus tard, que le couple de buralistes leurs avait demandé d'être le client gagnant de mon fameux ticket. Ce n'était pas étonnant puisque la règle de la FDJ interdit aux buralistes de jouer. Il fallait donc un faux gagnant avec qui partager les gains. En l'occurrence, une bagatelle d'environ 170 millions d'euros.

La seconde fois s'est déroulée en Martinique, chez le buraliste situé à côté du 8 à 8 à l'Anse à l'Ane. De la même manière, le changement d'expression du buraliste, la machine qui n'affichait rien à ce moment et l'impossibilité de récupérer le ticket m'incitèrent à penser que j'avais, une nouvelle fois gagné. Dans ce cas, point aussi confirmé, la somme gagnée était de l'ordre de 80 millions d'euros. Sauf que la méthode employée en collaboration avec la DGSE était différente. De nos jours, on peut jouer aussi sur Internet, depuis son téléphone ou son ordinateur. On peut aussi vérifier si l'on a gagné quelque chose en utilisant Internet. Je l'ai fait à maintes reprises sans constater de gain. A ceci près que j'utilisais le même ticket pour rejouer les deux grilles. C'est donc dans ces moments que je constatais de multiples petits gains, sans que la vérification sur Internet m'en informe puisque c'était tout le contraire. Sauf au tout début. C'est l'inverse qui s'était produit et l'on m'avait fait oublier ces petits gains le lendemain.

nb: A l'époque de mon premier gain, beaucoup de personnes savaient que j'avais une "martingale" qui pouvait me permettre de gagner le gros lot. A vrai dire, il s'agissait d'une étude méthodique des sorties de numéro sur pratiquement un an, avec la fréquence des numéros en fonction des classes unité et dizaines. Une sorte de méthode statistique qui permettait de jouer certains numéros dont la fréquence de sortie était trop faible à un moment. De quoi vraiment gagner. L'objectif consistait à ne jouer que plusieurs séries différentes sur le temps, une fois les numéros potentiels identifiés. La seconde fois, la méthode fut différente puisqu'elle consistait à ne jamais changer de série de numéros, en partant du principe qu'il y avait une chance sur 170 millions (ou plus) qu'ils sortent. Juste une question de temps en sorte.

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