MEME EN RAMPANT, JE DENONCERAI.

Publié le par Orion56

MEME EN RAMPANT, JE DENONCERAI. ET C'EST EN RAMPANT QUE JE DENONCE.

Macron l'a voulu, Macron l'a fait, comme un jeune Président manquant d'expérience dans ses propos virulents contre les Français, comme je l'ai incité à le faire, rien qu'en le mettant au défi d'aller jusqu'au bout de sa logique destructrice. C'est donc en rampant que je tente de rédiger cet article ce matin, réveillé brutalement dès 3h00, sous la torture immédiate des agents de la DGSE. Déjà hier je ne fus pas à la fête lorsque je rédigeais le second article "Votre argent m'intéresse". A chaque fois que je dénonce une vérité bien dérangeante pour Macron. Rien n'y fera contre les douleurs insupportables provoquées par l'hypnose; aucun médicament ne peut faire effet, encore moins un poison mortel enrobé dans les pilules contenues dans une boite que m'a vendue, à de nombreuses reprises, la pharmacie des Trois Ilets. Il aura fallu s'organiser pour que j'évite l'Efferalgan empoissonné ou, pire, le Dolipran. Alors imaginez un collutoire qui aura tout l'effet contraire, tandis que les agents de la DGSE n'ont de cesse de me demander d'aller faire un tour à la pharmacie.

1. Dommage pour le fils Parfait : il a fait ce que Macron a voulu.

Je disais donc Macron l'a voulu, Macron l'a fait. Il ne me manquait plus que quelques preuves pour, encore, témoigner, même si cela devait être à titre posthume. Sur les décisions de Macron me concernant, sur les décisions de Hollande me concernant depuis que je suis en Martinique. C'est donc après la rédaction de mes articles, le 11 septembre 2017, que je suis allé faire des courses à Auchan, du côté de Sainte Luce, en rampant, en étant à la limite de l'impossibilité de conduire.

Jamais je n'aurais vu autant d'agents de la DGSE me torturant dans le magasin. Du magasinier martiniquais (avec son portable et le numéro spécial DGSE pour que j'entende les voix féminines) qui se cachait ensuite derrière les rayons, d'un responsable martiniquais du magasin qui s'est caché ensuite dans l'entrée de leur bureau, d'un faux client martiniquais qui sifflotait à tue-tête (j'étais programmé pour avoir les pires douleurs) en me poursuivant partout dans le magasin jusqu'aux caisses, à l'agent de sécurité qui, sur ordre du faux client, esquissa le geste de me ceinturer pour utiliser une technique mortelle du Krav Maga. Que ne l'a-t-il fait... Un gamin blond m'attendait dehors pour continuer, du genre de ceux qui apprennent le Krav Maga pour tuer, par jeu, d'autres écoliers, ainsi que le faux fils de mon faux frère l'avait fait (objet du point 2).

Macron a donc donné ses ordres pour que je ne passe pas la journée... pour tenter de me liquider définitivement. Puisque non satisfait de leur échec, les agents de la DGSE m'auront torturé jusqu'au début de la nuit, m'empêchant, sous les pires douleurs, de regarder les vraies émissions des chaînes d'information. La désinformation des français est, finalement, une marque de fabrique de Macron.

nb : Que dire de ma carte bancaire muette à dessein avec le terminal de paiement en ligne des caisses ? Si ce n'est que ma carte n'était plus muette avec un terminal portable. La DGSE me l'aura fait dans tous les supermarchés et magasins que j'aie fréquentés (Carrefour, Leader Price, Auchan, ...). Que dire du montant de 70 euros contre 120 euros deux semaines auparavant avec le même type de produits ? Rien, si ce n'est que l'arnaque n'était plus de mise avec un logiciel qui compte en double ou triple des articles sans qu'on le voie sur le ticket.

 2. Les spécialistes du Krav Maga : les tueurs à mes trousses.

2.1 Le fils de mon frère déjà spécialiste du Krav Maga.

Arrivé en Martinique, je ne connus le "fils" de mon "frère", fabrice, qu'au bout de plusieurs mois. Je n'arrivais pas à reconnaître le petit blond, mince, enjoué, brillant dès la petite école que j'avais connu en région parisienne. J'avais en face de moi un gros brun, en échec scolaire, dénigrant l'autorité parentale. Je ne le reconnaissais pas mais l'hypnose était là pour aider à ce que je puisse croire qu'il était vraiment le fils de mon frère. Comme je l'ai déjà expliqué dans mes précédents articles, mon "faux" frère est décédé à plusieurs reprises. C'est donc un clone. Ce qu'il m'aura avoué ! C'était un jour, dans sa maison de l'Anse à l'Ane, au cours duquel le "fils" et le "père" se battaient. Je pensais qu'ils jouaient lorsque j'entendis mon frère dire à son fils qu'il était plus fort que lui. Ce à quoi son fils rétorqua qu'il avait progressé et pouvait le battre.

Ils utilisaient tous deux les techniques du Krav Maga destinées à rompre les cervicales, rien qu'avec les doigts, rien qu'avec un geste s'apparentant à de la tendresse en vous prenant le cou par la main. Mon "frère" mis au défi son "fils" en lui expliquant qu'il allait me demander de lui mettre une trempe. Son "fils" m'attaqua immédiatement pour tenter de me rompre les cervicales. Main droite, main gauche. Il aura fallu qu'il perde trois dents pour continuer à vouloir encore tenter de me tuer. Je le pris par le cou pour le soulever de terre afin de lui expliquer, dans le creux de l'oreille, ce qu'il était, pour le jeter au loin. Il ne le croyait toujours pas. Je lui dis alors de faire un test ADN de paternité et de maternité pour qu'il connaisse la vérité. Il partit soudainement en hurlant à la face de son "père" qu'il venait de comprendre qu'il n'était pas son "fils".

C'est ce qui a décidé mon "frère" à se confesser. Il le fit en me confirmant qu'il avait, lui-même, tué son vrai fils et qu'il le paierait cher un jour ou l'autre. Je lui expliquais alors qu'il ne s'en rendrait même pas compte étant un clone bien docile de troisième ou quatrième génération. Il confirma ce point en expliquant, à sa nouvelle petite amie, Isabelle Fournier, qu’elle aussi avait été clonée. Elle le savait et lui reprocha de l'avoir avoué (cf. nb).

Son "faux" fils avait même utilisé le Krav Maga dans la cours d'école pour tuer un autre écolier. Ce scandale fut camouflé puisque le "fils de mon "frère" avait juré qu'il s'agissait d'un jeu qui avait mal tourné. Une simple technique pour ceinturer quelqu'un par le dos en lui brisant les vertèbres du dos, cette technique qu'aura essayé de me faire D. Debise .. Un jeu, somme toute. Les parents d'élèves doutaient, ainsi qu'une mère m'en a fait mention. Comme je lui confirmais que le "fils de mon frère" avait bien tué intentionnellement, il fut viré de toutes les écoles. Je lui avais d'ailleurs appris qu'il ne s'agissait pas de son vrai fils et que mon frère était, bel et bien, un clone humain. Il m'aura fallu, à ce moment, aider cette mère en tuant, pour la énième fois, le fameux brun aux cheveux courts et lunettes, l'agent de la DGSE fou de Dieu, qui venait de sortir du mur de la pièce où nous nous trouvions...

nb : Mon frère m'avait parlé de sa nouvelle petite amie que nous étions allés voir dans son appartement de l'époque, à La Trinité. Son propre fils m'avoua alors ce qu'il avait vu : sa mère se faire happer par des hommes sortant d'un mur derrière lequel il n'y avait qu'une petite chambre en apparence, la sienne. Elle était réapparue changée et particulièrement dure avec son fils. Je lui demandais alors de rester pour vérifier un point. Sa mère me proposa une boisson fraîche (jus de fruit ou thé). De la fumée s'échappa de ma tête. Il me le rapportait, troublé. Je lui en donnais l'explication. Elle venait de me faire avaler du poison, non mortel pour moi mais qui le serait pour lui. Il fallait donc immédiatement le protéger avant qu'il ne devienne, lui aussi, un clone. J’appris par la suite que des meurtres et autres petits réjouissements s’étaient produits du côté de La Trinité du fait d’Isabelle Fournier.

2.2 Une entremetteuse pour les rencontres fortuites de spécialistes du Krav Maga.

Elle n'a jamais voulu me donner son nom de famille mais Anne-Marie, la spécialiste des locations de vacances pour compte de tiers sur l'Anse à l'Ane, m'aura fait rencontrer sans doute tout ce qui se fait en spécialiste du Krav Maga.

2.2.a. Un pêcheur martiniquais débutant du Krav Maga et du "fugu". 

Le premier fut le pêcheur Martiniquais qui ramène, juste une fois par semaine, du poisson sur la plage de l'Anse à l'Ane. Apparemment, cela lui permet de vivre, non pas chichement, mais grandement (quelles belles voitures il avait). Lors d'une soirée crêpes, organisée par Anne Marie, sa petite amie métropolitaine, Carole Feltrin, nous avait rejoint en faisant semblant d'être terrifiée par le pêcheur violent. Il l'a été avec moi mais jamais avec elle puisqu'ils partageaient un but commun : me liquider. Lors de cette soirée, la violence du pêcheur s'exprima en utilisant le Krav Maga contre moi, ce qui m'a poussé à le tuer sous les yeux médusés des invités. Il revint fringant quelques minutes plus tard. D'ailleurs, personne n'a mangé les crêpes empoisonnées par Carole ... après m'avoir vu fumer de la tête. J'avais gouté le premier ce qui aura permis de sauver les autres.

Mieux encore, cette effrayée du pêcheur violent vint à ma table où je buvais tranquillement une bière. Elle fut rejoint par son petit ami pêcheur qui arrivait avec un met de choix : le filet du poisson coffre. Ils insistaient tous deux pour que je goute cette chair, ce que j'ai refusé. J'ai alors demandé au pêcheur d'avaler un morceau, puis un deuxième, puis, puis, jusqu'à ce qu'il meure sous "nos" yeux. L'antidote ne faisait plus effet, ainsi qu'il l'expliqua à sa petite Carole chérie, il était en train de mourir, selon ses propres termes. Carole avait eu beau me dire qu'elle en avait mangé de nombreuses fois, tant le coffre avait une chair fine, qu'elle finit piteusement par avouer que son petit ami, décédé, était bien fatigué par le rhum qu’il n’avait pas bu ce jour là ! Il avait besoin d'une bonne sieste. Clairement, il avait été cloné au moins deux fois.

2.2.b. Un spécialiste du Krav Maga revenant : l'un des tueurs en Corse.

Là encore, Anne-Marie me présenta celui qu'elle appelait le beau brun ténébreux : Régis dont je n'ai plus le nom puisque tous mes SMS ont été supprimés de mon portable. Le type au bagout qui a toujours pour résultat d'arriver à coucher avec la moindre fille rencontrée. Je crois que, comme lui, je n'aurais aucun problème en m'aidant de l'hypnose ! J'ai mis bien du temps pour me rappeler, très récemment, qui il était vraiment. Il a toujours le même visage, sans une ride de plus que celles qu'il n'avait pas il y a 30 ans de cela.

C'est en effet l'un des agents de la DGSE, venu en couple avec une enfant, qui avait organisé la tentative de meurtre sur ma personne, l'un de ceux ayant brisé la nuque d'un innocent sous mes yeux. L'un de ceux qui se battait faussement ("toi aussi, tu y participes", "oui, oui, mais non, mais non") en utilisant les techniques de Krav Maga que je ne connaissais pas. Je ne reviendrais pas sur ce qui s'est passé durant cette soirée en boite de nuit en Corse. Si ce n'est qu'on me demanda le lendemain (des agents de la DST) ce qui s'était passé. Il fut tué immédiatement, une fois découvert sa véritable identité : agent de la DGSE. Pour autant, il était à nouveau en vie lorsque nous sommes allés déposer plainte auprès du commissariat, lui et le deuxième larron de la DGSE, également mort. C'est ce que m'ont demandé les gendarmes, en privé, une fois réveillé après que j’aie reconnu le portrait du tueur activement recherché. Je leur expliquais alors de ne plus se soucier de lui et de son équipe, comprenant de très nombreux hommes de la DGSE. Une fois que je l'avais vu marcher dans les rues de Marinca Porticcio, alors que nous allions à l'hôpital pour m'enlever les fils, fruit de son coup de tête, j'intimais l'ordre à la conductrice de nous arrêter. On me prévint que ce moment était organisé. Du coup, je les ai poussés à s'entretuer jusqu'à ce qu'il ne reste plus qu'un agent de la DGSE vivant. Il se fit passer pour un agent de la DST. J'expliquais alors que c'était la conductrice qui m'avait prévenu de l'attentat organisé. Il la fit sortir, la tua sous mes yeux et ceux de la passagère pour revenir, 1 minute plus tard, toute fringante.

Bref, le brun était toujours en vie, toujours spécialiste du Krav Maga, désormais vivant en Martinique. Il s'était fâché avec sa nouvelle femme qui était retournée en Métropole, fâché depuis mon arrivée en Martinique. Sauf que les amis de sa femme me confirmèrent qu'ils n'avaient plus jamais eu de nouvelles de sa part. Il l'avait tuée. Un petit coup d'hypnose et j'avais encore tout oublié. Il venait d'emménager à l'Anse à l'Ane, dans l'ancien appartement de Daniel Lefrancois (cf. nb), un "ami" du club, qui l'avait aidé pour l'obtenir et me le présenter à nouveau. Un jour, Régis m'invita à boire un coup dans le 'carbet' que le propriétaire aurait fait construire, juste à côté de l'appartement. Il fit alors un geste amical, me prendre le cou par la main droite en rapprochant sa tête de la mienne, pour tenter de me déplacer les vertèbres cervicales. Je l'ai immédiatement tué alors qu'arrivaient ses connaissances motards. Ils virent avec moi l'incroyable se produire. Son corps inanimé disparu sous la dalle de bois du carbet (construite un peu surélevée), pour le voir faire un roulé-boulé depuis le côté du carbet. Il était tout fringant et demandait pourquoi il était tombé à terre ... Combien de fois aura-t-il été cloné et combien de personnes aura-t-il tué ?

nb : Daniel a tué sous mes yeux sa propre mère dans son nouvel appartement, sous les yeux aussi de sa petite amie qu'il faisait chanter pour qu'elle reste avec lui, en la menaçant de tuer sa fille restée et encadrée en Métropole. Ils devaient partir au Canada et je n'ai plus jamais eu de nouvelles d'elle. J'espère qu'elle y vit heureuse avec sa fille, sous la protection des autorités canadiennes, prévenues de l'arrivée d'un nouvel agent de la DGSE.

2.2.c Anne Marie et les autres tueurs du Krav Maga.

Elle les connaissait tous les spécialistes du Krav Maga, y compris D. Debise qu'elle ne connaissait pourtant pas et qu'elle n'appréciait pas. Du jour au lendemain, ils étaient amis. Tout comme elle me demanda, après 6 mois d'absence, de retourner voir le Régis, le beau brun ténébreux. Mais le D. Debise était particulier. En tant que Grand Maître du Krav Maga, se faisant passer pour un petit étudiant de ce sport, il connaissait personnellement tous les agents de sécurité des grands magasins, tous spécialistes du Krav Maga. Comme le professeur de cette école de sport de combat, responsable de la sécurité au Carrefour Génipa.

Conclusion : Ils m'auront mis sur le dos tous les spécialistes du Krav maga qu'ils avaient sous la main. De mon "frère", son faux "fils" à des revenants connus il y a très longtemps. Y compris D. Debise et ses petits amis de Métropole, venus spécialement en Martinique, tous Grands Maîtres du Krav Maga, notamment celui avec le niveau le plus élevé. Tous seront repartis avec des cotes brisées, des dents brisées, des nez brisés en mille morceaux. Ils sont toujours en vie, sans doute, pour l'ultime bataille visant à interdire les écoles enseignant cette technique mortelle de combat, qui aurait dû rester secrètement entre les mains des agents du Mossad qui l'a développée.

3. La justice en Martinique contaminée depuis longtemps par la DGSE.

C'est plus tard que j'appris que la Martinique avait été touchée par les meurtres et toutes les pratiques destructrices de la DGSE. Uniquement depuis que mon "frère" était arrivé dans cette île. Les martiniquais s'en doutaient mais ils manquaient de preuves. Quand bien même ils en auraient eu, la justice ne les aurait pas aidés. Car mon "frère" était allé jusqu'au point d'empoisonner le cheval qu'il avait offert à sa fille, celle qui est toujours en vie. Malgré les preuves de ces faits – des analyses de sang contenant du poison, le Tribunal compétent à Fort de France débouta sa vraie fille, alors majeure, pouvant ester en justice, d'autant qu'elle finalisait des études de droit. Bien avant mon arrivée, la justice en Martinique obéissait déjà aux ordres de la DGSE, ainsi que je l'ai vécu en Métropole pour avoir vu trois agents, que je connaissais, entrer dans les bureaux des juges, comme s'ils étaient chez eux, pour me faire subir...

Il ne manquait plus que je le constate par mes propres yeux. Voilà pourquoi la DIECCTE en Martinique me poussait, sans cesse, à porter mes différents avec Orange devant le Tribunal "des petites affaires", ainsi qu'ils se régalaient de me le dire. Il s'agit en fait du Tribunal d'Instance pour les affaires inférieures à 10 000 euros. Je me doutais donc qu'il aurait été inutile de me représenter devant cette juridiction puisque la Justice martiniquaise était déjà aux ordres, comme l'a été la Juge du TI parisien pour un différend avec un avocat (l'un des pourris que j'aurais eu). De plus, ils m'en ont donné la preuve avec cette juge du pénal nouvellement nommée, qui souhaitait s'essayer à la plongée dans le club des tueurs David et David (Debise et Brossard). Elle avait participé à ma torture sur le bateau, devant témoins.

4. La DST et les ordres de ne plus intervenir.

Curieusement, les agents de la DST ont souvent profité de ma présence pour apprendre et anéantir les menaces de la DGSE. Il n'en reste pas moins que ce service fait preuve d'une grande absence ces derniers temps. Sans aucun doute sur ordre, comme cela a été le cas en Métropole depuis que la nouvelle DGSI a déménagé et est aux ordres du Maire de Levallois Perret (ou de son équipier nouvellement nommé à la tête de la DGSI). Pour que l'armée se fasse attaquer juste à côté des bureaux de la DGSI, sans être prévenue, on ne peut plus douter sur les ordres que ce service reçoit. Il en est désormais de même en Martinique. Ainsi, la DGSE peut continuer ses actes meurtriers et de destruction massive.

De plus, j'ai été témoin, à de nombreuses reprises en Martinique, du fait que la DST avait été infiltrée par des agents de la DGSE, soudainement promus chef des agents en mission. Ainsi en a-t-il été avec les Grands Maîtres métropolitains du Krav Maga. Ainsi en at-il été lors d'un dîner au restaurant avec mon "frère" et son "amie". Mon frère aura tout de même reproché à son amie de ne pas avoir fait le nécessaire pour refaire à l'identique les cicatrices sur le sein d'une Indonésienne que j'avais connue, soudainement apparue dans le restaurant. Je ne reconnaissais pas cette fille, devenue de "joie", qui parlait curieusement le français. Tout comme je ne reconnaissais pas une "sœur" modifiée pour la énième fois. Ils auront tout tenté en termes de poisons mortels. Là encore, l'agent responsable refusait de me laisser tuer mon frère et sa petite amie. J'eus, un instant après, la confirmation que c'était un agent de la DGSE par ... les agents de la DST présent au restaurant. Il aura tenté une autre fois de me faire tuer par des agents dits martiniquais après un déjeuner au cours duquel il n’avait pas réussi à me tuer en empoisonnant mon café, ni d’avoir un faux témoin martiniquais.

Conclusion : Finalement, que la fête continue. Que ce soit sous Sarkozy, sous Hollande pendant mes quelques années de présence en Martinique, et, plus récemment sous Macron, les agents de la DGSE ont ordre de me tuer, de me torturer et de me faire les pires ignominies qu'ils puissent (ré)inventer. Si l'on rajoute à cela les ordres reçus par la DGSI (nouveau petit nom de la DST) pour ne plus intervenir pour sauver les français des agents de la DGSE, la moitié des français seront bientôt éliminés, dans le meilleur des cas, pour être clonés, dans le pire des cas. Car qu'on se le dise : l'une des principales missions de la DGSI est la traque des terroristes. Comment fera-t-elle contre les agents de la DGSE qui organisent les attentats et y participent (j'en suis témoin) ? Comment feront les agents de la DST sous commandement unifié DGSE-DGSI ? Peuvent-ils encore sauver la France et les français, ainsi qu'ils ont si bien rempli ces missions de tout temps, jusqu'à récemment ?

5. Qui a bien pu aider la Corée du Nord pour qu'elle dispose de la bombe nucléaire la plus puissante au Monde ?

Je suis le seul à pouvoir témoigner de ce qui s'est passé un jour à la frontière entre la Corée du Nord et la Corée du Sud. Le seul parce que les personnes présentes ce jour là ont décidé, pour le moment, de maintenir l'évènement secret. Comme souvent, je fus "invité" pour un bref aller-retour. Jusqu'à cette frontière où m'attendait un Général américain et le Premier Ministre de la Corée du Sud, entre autre personnes. Ils m'expliquèrent que les soldats de Corée du Nord pénétraient le "no man's land" pour tuer les soldats de Corée du Sud, situés dans leur territoire. Ces derniers n'avaient pas encore répondu à la provocation, sachant que certains d'entre-eux, ayant pénétré la zone, avaient sauté sur des mines anti-personnel, pourtant interdites. Ils me demandèrent donc de prendre la situation en main, en tant que Général français 5 étoiles.

Je ne rentrerais pas dans le détail des opérations - secret militaire - mais ce que nous apprîmes alors était effarent. Des soldats attendaient, protégés par des barrières naturelles, des deux côtés de la frontière, derrière un champ immense de mines. Le côté droit était tenu par des soldats russes ou agents russes, le côté gauche était tenu par des agents de la DGSE. Dans chacun des cas, deux ou trois agents poussaient les soldats de la Corée du Nord (et les soldats américains) à venir les attaquer à ces endroits précis, en passant par la boucherie des mines. Ils n'étaient bien évidemment pas seuls car, derrière ces caches naturelles, se trouvaient d'immenses caches "construites" avec une foule impressionnante d'agents. Sous mes ordres, nous nous sommes occupés de nettoyer toute la zone, en prenant soin de faire des prisonniers.

C'est pourquoi il ne m'est pas difficile d'expliquer que la Corée du Nord a obtenu l'aide de la Russie et de la France pour développer la plus puissante bombe nucléaire de tous les temps. Pourquoi ? Tout simplement parce que tous les pays disposant de l'arme nucléaire ont signé un traité de  non-prolifération des armes nucléaires qui interdit tout développement d'armes de cette nature. Il fallait donc un territoire utilisé comme laboratoire, dans un pays n'ayant pas ratifié cet accord. Un peu comme en Afrique pour les armes biologiques et chimiques. Vous comprenez mieux pourquoi la Russie était contre les résolutions de l'ONU visant les produits pétroliers, puisqu'elle devait maintenir son "marché", celui qu'elle avait "piqué" à la Chine lors de cette première résolution. La Corée du Nord était très  heureuse d'avoir un nouvel allié ! Vous fallait-il encore une nouvelle preuve de l'infection mondiale des agents de la DGSE, alliés aujourd'hui aux agents russes ? Y compris en Martinique.

nb : Il est vrai qu'on m'avait invité sachant que j'avais des comptes à régler avec le terrorisme, les agents de la DGSE, les agents, les soldats et la mafia russes, mais pas qu'à ce niveau.

6. Depuis quand avons-nous des nanotechnologies dans les vaccins ?

Je ne saurais donner de date précise mais je me souviens que ma fille ne devait pas avoir deux ans, ni même un an. Cela avait démarré par une convocation du Médecin du travail à GDF, une femme sur le déclin. Elle voulait m'imposer la vaccination contre l'hépatite B. La première piqûre ne pouvait pénétrer ma peau : l'aiguille était clairement empoisonnée (comme on me l'a fait dans un centre d'examens en Martinique, à Rivière Salée). La deuxième pénétra pour qu'elle m'injecte le vaccin. Son assistante, effarée, vit que ma tête fumait. Je demandais alors au Médecin du Travail si elle avait pris elle-même ce vaccin. Elle ne l'avait pas encore fait et s’inocula ce vaccin pour me montrer son innocuité. Elle mourut sur le champ. J'expliquais alors à l'assistante qu'il ne devait pas s'agir de poison mais plutôt de quelque chose de très mauvais pouvant déclencher immédiatement une pathologie lourde. Le Médecin du travail était âgée et avait le cœur fragile, ainsi que son assistante me l'expliqua, entrainant son décès immédiat. Elle prit toutes les fioles et la liste des collaborateurs obligés d'être vaccinés : en clair, tous ceux qui gênaient la Direction.

L'analyse démontra, avec retard, le déclenchement presque immédiat de la sclérose en plaques. Vous comprenez mieux aujourd'hui pourquoi j'ai refusé toute nouvelle vaccination sur ma fille Jade. J'ai pris soin d'alerter le pédiatre à Levallois que je suis allé voir pour la énième nouvelle maladie de ma fille. Je notais sur le carnet de santé mon interdiction de toute forme de vaccination, tandis que lui prévenait tous les pédiatres que la mère de ma fille allaient voir (elle passait de l'un à l'autre). Là aussi, il aura fallu nous organiser pour sauver la vie de ma fille puisque je ne la voyais plus qu'un week-end sur deux. Il n'empêche qu'il aura fallu de très nombreux cas, notamment de sclérose en plaques, pour que le scandale éclate enfin. D'une vaccination recommandée, on passait à une vaccination imposée, en choisissant les patients (la liste). On n'avait pas pensé aux nanotechnologies à l'époque. Je tiens aussi à préciser que l'hépatite B n'est certainement pas celle qui est mortelle, contrairement à l'hépatite C. On guérit assez facilement de l'hépatite B, alors pourquoi cette vaccination, si ce n'était pour tuer nos enfants ?

 

Conclusion générale : C'est bien en rampant sous les pires douleurs que j'ai rédigé cet article. Il m'aura fallu plusieurs heures pour ce faire, bien que j'avais préparé les principaux éléments la veille. Vous y lisez sans doute encore l'incroyable mais nous sommes trop nombreux à l'avoir vu. Vous devriez être habitués avec l'ensemble de mes articles qui ne sont le reflet que de la stricte vérité, avec preuves, avec témoins. Tu vois Macron, je ne céderai rien, pas même en devant ramper sous les pires douleurs.

Martial Messier.

 

 

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